Hénok
Autres formes dérivées
Etymologie
Du latin Enoch, issue du grec ancien Ἑνώχ (Henṓkh) et, plus avant, de l'hébreu חֲנוֹךְ (Ḥănôḵ) qui signifie « consacré » ou « dédié ».
Résumé historique du personnage
Différents personnages portent ce nom dans la Bible. Le plus célèbre est le descendant de Yéled. Fidèle à Dieu, il vécut 365 ans, fut enlevé au ciel et ne connu pas la mort.
Références bibliques
- Gen 4.17 ; 5.18-24
Le prénom donné en France (INSEE)
17. Caïn eut des relations avec sa femme ; elle fut enceinte et mit au monde Hénoch. Il se mit ensuite à bâtir une ville et appela cette ville du nom d'Hénoch, son fils.
Notes : Genèse 4:17
eut des relations avec v. 1n. – Hénoch : la racine hébraïque correspondant le plus vraisemblablement à ce nom signifie dédier, inaugurer ; de la même racine dérive le nom hébreu de la fête de la Dédicace, Hanoukka. Cf. 5.18-24 ; 25.4 ; 46.9 ; Esd 6.16n ; Jn 10.22n. – Il se mit… : certains modifient le texte hébreu traditionnel pour lire celui-ci (Hénoch) devint bâtisseur d’une ville et il appela cette ville de son propre nom, Hénoch ; cf. 11.1-11.18. Yéred vécut cent soixante-deux ans, puis il engendra Hénoch.
Notes : Genèse 5:18
Hénoch : cf. 4.17n.19. Après la naissance d'Hénoch, Yéred vécut huit cents ans ; il engendra des fils et des filles.
20. La totalité des jours de Yéred fut de neuf cent soixante-deux ans ; puis il mourut.
21. Hénoch vécut soixante-cinq ans, puis il engendra Mathusalem.
Notes : Genèse 5:21
Mathusalem : hébreu Metoushélah ; cf. 4.18n.22. Hénoch marcha avec Dieu trois cents ans encore après la naissance de Mathusalem ; il engendra des fils et des filles.
Notes : Genèse 5:22
marcha avec Dieu 6.9 ; cf. 17.1 ; Dt 13.5 ; Mi 6.8 ; Ml 3.6. LXX fut agréable à Dieu, de même au v. 24.23. La totalité des jours d'Hénoch fut de trois cent soixante-cinq ans.
Notes : Genèse 5:23
Cf. 7.11n. Ce chiffre correspond au nombre des jours de l’année solaire, qui tient une place importante dans la littérature attribuée à Hénoch ; voir aussi calendrier, Qumrân.24. Hénoch marcha avec Dieu ; puis il disparut, parce que Dieu le prit.